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| [Emission Tridéo] Rien qu'une question de style | |
| | Auteur | Message |
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John'son Moderateur
Nombre de messages : 169 Date d'inscription : 26/04/2007
| Sujet: [Emission Tridéo] Rien qu'une question de style Ven 15 Juin - 1:32 | |
| >Saluuut Nounouuu ! Me voici maintenant dans une nouvelle parution ! Je ne pensais pas participer à autre chose que Lézards/Déco un jour, mais quand R3N0 m’a proposé... Mais ce n’est pas une raison pour m’arrêter de vous présenter tous les courants de demains, car le plus terrible manquement à la déontologie serait de vous laisser ne plus être à la page. Rien que cette idée m’épouvante. Mais ne vous inquiétez pas, tonton Sakura s’occupe de tout. Et voyez toutes les petites merveilles que je vous apporte en cadeaux de Noël : le Hobocore fera mouche chez vos amis artistes, mais si vous préférez un look plus mâââle, optez pour le CorpoWarrior, mais sans perdre de vue Le Genre Intégré. Je suis sûr que celui-ci va nous apporter bien des choses étonnantes dans les années à venir. Allez, bisous, et à la prochaine ! >Sakura.
Hobocore Sorte de "grunge" poussé à l’extrême, le Hobocore symbolise le rejet de toute structure, de toute volonté de plaire, et pour les cas les plus poussés, une sorte de pitié pour les SINless et les SDFs. Le style est avant tout vestimentaire et tend vers le comportemental, sans grande avancée dans le milieu plastique jusqu’à présent. Les oripeaux doivent être débraillés, déchirés, bien entendu sans marque, le summum étant d’utilisé des vêtements de marque dont on aura effacé le TAG, pour montrer le rejet de celle-ci sans en perdre la qualité. Le domaine olfactif aussi doit être étudié avec soin. Toute ressemblance avec un parfum particulier doit être évitée, pour tendre vers un fumet proche de ceux de vrais clochards, toutefois sans avoir à recourir aux mêmes extrémités. L’odeur doit être dérangeante sans être repoussante, car elle ne doit empêcher personne de venir vous admirer pour votre intégrité artistique. Le Hobocore, émergé du style de vie décousu de certains artistes, s’est répandu parmi cette couche de la société jusqu’à atteindre celui des adolescents, attirés par ce manque de restriction et par la réaction qu’ils obtenaient des adultes. Le style ne s’est pas encore généralisé mais a déjà des adeptes fervents. Ceux-ci vont jusqu’à se faire implanter des systèmes leurs permettant de vivre pleinement leur Hobocoritude, comme la Scent Glande ou l’expansion digestive. Bien sûr, ils ont leurs détracteurs qui déclarent que le coût des implants n’est pas en adéquation avec leur pensée. Styles divergents : Technohobo, Medieval Hobo... Personnalités importantes : Dr. F.G. Hobo ; Denis Prudence.
Little Big Man Pour les adultes qui voient pour la première fois un partisan de la mode Little Big Man, le choc est toujours rude. En effet, voir un enfant de 5 à 10 ans vêtu d’un costume trois pièces de chez Armanté n’est pas courant. Ce mouvement a vu le jour où John Smith, son fondateur, s’est acheté son premier ensemble après avoir gagné son premier millier de dollars, en 2067, lors de l’anniversaire de ses 5 ans. Depuis, il n’a cessé de vouloir montrer que l’âge ne fait pas la valeur, et a rassemblé autour de lui d’autres enfants, bien plus matures et intelligents que la masse stagnante. Aujourd’hui, leur style déborde au-delà de leur cercle d’influence depuis le reportage qui leur a été consacré dans l’émission Joyaux Lointain. Cette volonté de s’élever à l’âge adulte artificiellement vient autant des enfants eux-mêmes que de certains de leurs parents, surtout dans le milieu corporatiste. Ces jours-ci ont vu l’arrivée des premiers Brand-tatoos à l’effigie de la corporation des parents ou comme espace publicitaire loué pour récupérer les premiers fonds nécessaires au lancement de la start-up. Le seul domaine où ces jeunes ne peuvent pas encore s’aventurer est celui de l’implantation, leur croissance biologique (ils insistent sur ce terme) n’étant pas encore finie. Penchant très fortement vers le CorpoStyle, le style Little Big Man sera la preuve que vous êtes un investissement à long terme sûr. Styles divergents : Little Big Ares, Little Big Yamatetsu, Little Big Boulevard... Personnalités importantes : John Smith, soi-même.
Punky Dérivé plus que style distinct, le Punky est l’avatar de tous ces jeunes gens rebelles pour qui la fête est un but en soi. Le rejet de toutes responsabilités, de tout travail est le fond, le Punky est la forme. Fils illégitime du punk et du funk, deux sous-cultures moribondes (bien heureusement), il est la fusion de ces deux styles, chacun complémentaire de l’autre. La première priorité si l’on veut se réclamer du Punky est la mentalité, les styles visuels ou musicaux ne sont que secondaires, bien que fédérateurs. Toute personne qui fera passer son travail ou ses autres occupations avant la fête ne sera plus reconnue par ses pairs. La fête est l’objectif primale, essentiel. Bien entendu, par la réaction communautariste bien connue, un style visuel s’est imposé, et celui-ci est un assemblage hétéroclite de treillis, de bottes de motards et de petites touches festives, pailletées et enjouées invitants à la débauche. Les substances illicites sont aussi un thème récurrent de ce mouvement, encore plus que dans ses prédécesseurs. Mais attention, tout Bad Trip est proscrit, car cela refroidi l’ambiance. Et rien, RIEN, ne doit arrêter la célébration. Pas même la Nature, et c’est pour cela que la dernière tendance est aux améliorations corporelles, comme la glande chimique ou le régulateur de sommeil. « The Show must go on. » comme le dit si bien le plus connu de ces individus, le présentateur de The Smoking Man (cf la rubrique tridéo). Styles divergents : Punk Funk, FunkStep, Bang !... Personnalités importantes : Aéro Rastignac, Trixxy.
Apache Ce style East Coast, découvert il y a peu par nos confrères de NewsMax 54, a une histoire bien particulière. Au départ gang de rue, les Apaches ont petit à petit fait des émules après avoir survécu brillamment à une guerre de gangs particulièrement vicieuse autour de New York voilà quelques années. Leurs méthodes de vie urbaine et leur style vestimentaire strictement utilitaire inspiré à la fois des Indiens et d’un mouvement européen d’il y a deux siècles ont su gagner le cœur de leurs adversaires et déborder chez les jeunes non-membres d’un gang. Faisant à la fois partie du microcosme urbain et l’exploitant, les membres de ce mouvement ont su adapter leur environnement proche à la liberté qu’ils voulaient obtenir : liberté de carrière (le plus souvent criminelle), liberté de mouvement, liberté totale dans tous les domaines. De ce postulat de départ ont été développées une myriade de tendances qui furent testées, modifiées, rejetées et approuvées pour finalement donner une sorte d’homogénéité au tout. Cette homogénéité se traduit par des vêtements prêts du corps, glissants pour qu’on en puisse pas les saisir, des cheveux courts mais de coupes marquées pour signifier sa différence, des ustensiles que l’on peut utiliser de diverses manières (ceintures-armes, boutons-décapsuleurs, harnais de charge, d’escalade...), et par un refus de toute autorité imposée, de toute restriction qui n’a pas été acceptée par le groupe. Vous devez trouver tout cela très flou, mais il en va de même pour tous les aspects de ce mouvement. Certains en sont, d’autres pas, et il est extrêmement difficile pour un non-initié de faire la différence. Les griffes d’escalades cybernétiques sont présentes dans le milieu, alors les lames implantées non. Pourquoi ? Eh bien, il semblerait que les lames vous fassent entrer dans le monde des Razor-Boys(quelle expression amusante ^^) alors que les griffes d’escalades sont nécessaires à l’idée de pouvoir passer outre les obstacles, partout, tout le temps. Mais ce n’est qu’un des nombreux paradoxes de cette tendance très stimulante. Styles divergents : Freerider, Cherokee, Mohican... Groupes reconnus : Groupe Illuminum, Confrérie du Carrefour, Freeman.
Fatman Autant musicale que vestimentaire, cette mode a un pré-requis que personne ne peut oublier : être gros. Bien entendu, maintenant que la mode s’est installée, de nombreuses frictions ont lieu entre les différents groupes d’influence à propos de ce que veut dire le mot "gros". A quel moment est-on gros ? A partir de combien de tour de taille a-t-on droit à l’adjectif "gros". Mais à l’époque des débuts, le seul repère était le malaise et les complexes. Du moment que vous étiez mal dans votre peau, le message passait. Car bien entendu le but des Fatmen est d’imposer leur statut, de prouver qu’ils ne sont pas amoindris par leur embonpoint. De là, plusieurs points de vue ont divergés. Certains sont assez réservés, et restent discrets, entre eux ; tandis que d’autres, plus agressifs, proclament leur supériorité, en opposition aux "maigres". Ce mouvement a l’avantage de rassembler parmi une large palette de la population, la couleur de peau, la religion ou le métatype important peu. Plus groupe affinitaire que véritable mode, Fatman est une communauté qui s’est formée spontanément par rapprochement entre les différents groupes de soutiens, clientèles de médecins spécialisés, associations... Ainsi les vêtements "approuvés" sont plus proches de supports à slogans que d’un style vraiment à part. De même au niveau musical, les groupes se réclamant de Fatman sont de tous styles. Aujourd’hui, le petit bonhomme Fatman, grâce à ses bienfaiteurs corporatistes, est autant devenu une icône de notre temps que le symbole Peace ou la virgule Nike. Styles divergents : Booty Soul, XXXXXL, BigMéta... Personnalités importantes : Patricia Baxter, César Lamour III, Nanae Katayama.
Dernière édition par le Ven 15 Juin - 1:34, édité 1 fois | |
| | | John'son Moderateur
Nombre de messages : 169 Date d'inscription : 26/04/2007
| Sujet: Re: [Emission Tridéo] Rien qu'une question de style Ven 15 Juin - 1:33 | |
| GloomcoreEt voici un autre enfant de ce courant défunt. Contrairement à l’Apache ou au Punky, le Gloomcore a essayé de garder la mémoire du punk (souvenez-vous, je l’ai évoqué). Mais de manière plus mémorial qu’active. Pour les partisans de cette tendance, le punk est mort et ressuscité. En Gloomcore. Plus sombre, plus désespéré que ses homologues, le Gloomcore marque la symbiose entre son mouvement d’origine et un autre courant tout aussi vénérable, le gothique. Reprenant à son actif le principe de départ de son prédécesseur : No Future, il n’y a plus de futur, le Gloomcore y a mêlé toute la mélancolie et la langueur de la mode gothique. Cela donne une sorte de mélancolie coléreuse, un peu « comme si un poète mort tentait de réveiller les vivants », pour citer l’une de leurs chansons phares. Spécialistes des icônes oubliées et des célébrités disparues, les membres de cette mode se délectent d’anciens groupes de musiques ou de vieux symboles inutilisés. De même, ils sont des récupérateurs particulièrement compétents et inventifs dans tous les domaines : vestimentaires, musicaux, décoratifs... Les choses qu’ils arrivent à faire avec trois fois rien sont très impressionnantes. Vieille broderie, vêtements de surplus, disques "vynils", décorations urbaines... La communauté Gloomcore fait par contre peu de cas des augmentations corporelles, leur préférant le Body Art : ce qu’ils appellent le Body Hacking et les mutations. A base d’implantations sub-dermiques de petits bijoux en métal chirurgical, le Body Hacking a pour but de décorer le corps ; tandis que les mutations donnent au corps la forme voulue par son propriétaire : langue fourchue, absence de paupière, sixième doigt... Mais tout cela, extrêmement dérangeant pour les non-pratiquants, reste très "Low-Tek", et rejette tout implant cybernétique, en opposition totale avec leur philosophie "DIY", Do It Yourself, comme ils disent. Styles divergents : Minimal, Freeform... Personnalités importantes : Sisters of Manson, The Cure Pistols. CorpoWarriorEncore à notre époque, beaucoup confondent style et essence. Et cela, le couturier Takanaka l’a bien compris en lançant cette hiver sa nouvelle ligne "Exec". Depuis, de nombreuses firmes de moindre talent ont suivis son exemple, formant malgré elles une nouvelle attitude : CorpoWarrior. Assimilant la sobriété des costumes Takanaka, et la mouchetant d’un peu de poigne, les partisans de ce nouveau style sont principalement corporatistes, et pour la plupart de jeunes cadres cherchant à grimper les échelons. Plutôt que de dépenser sans compter et étaler sa richesse, les CorpoWarriors portent des tenues strictes, extrèmement sobres, où chaque ligne est étudiée pour faire ressentir la puissance contenue, tout en excluant le superflu. Toute personne qui le regarde voit que c’est la personne à l’intérieur qui compte. Et que celle-ci le sait. Evidemment, chaque mouvance a ses divergences, et la CorpoWarrior n’est pas différente. Les plus jeunes citoyens corporatistes, regardant leurs grands frêres ou grandes sœurs avec admiration et jalousie, ont commencé à les imiter. Il n’est pas rare de voir les lycéens ou étudiants corporatistes porter ce genre de vêtements, mais avec un look plus dur, plus intense. Ces jeunes gens prennent tellement cette tendance au sérieux, qu’il n’est pas rare d’assister à des altercations, voir des affrontements entre deux bandes issues de corporations rivales. Le fait que la hiérarchie ou leurs parents ne les punissent pas, du moment que leurs actions ne portent pas préjudice à l’image de la corporation, n’arrange pas les choses. D’autres courants peuvent être observés, selon les corporations. Chez Renraku Computer Systems, certains cadres apportent le katana familial avec eux, où qu’ils aillent, et l’image d’un jeune cadre en costume trois pièces avec une malette dans une main et un sabre dans l’autre est... étrange. A l’inverse, chez Ares Small Arms, il n’est pas rare de voir un holster de ceinture sous la veste, volontairement mal dissimulé, surtout dans les nombreuses filiales de sécurité ou d’armements que la firme dirige. Styles divergents : FirmBushi, Marshall, 8-9-3... Groupes importants : sa corporation, ses co-citoyens (de rang inférieur, les supérieurs étant à détrôner). John Q. PublicL’autre jour, dans la rue, je croisais une femme pliant sous le poids de son installation. Sa combinaison, manifestement faite maison (et fort peu esthétique), était équipée de tous les capteurs que l’on peut imaginer : visuels, auditifs, atmosphériques, de métaux, de mouvements, olfactifs, directionnels, lasers... Je l’abordai, et lui demandai ce qu’elle faisait. « Je sauvegarde des instants uniques pour tout le monde », me répondit-elle à travers sa caméra crânienne. Je crois que c’est la meilleure définition du John Q. Public que l’on m’ait donnée. Ces gens, de tous milieux et de toutes classes sociales, sont des badauds professionnels. Ils voient, écoutent, sentent, et enregistrent. Puis, toutes leurs données partent en flux continu sur des sites AMFeeds. De nombreux degrés sont observables. Les enregistreurs les plus occasionnels ont un travail, une vie, et se contentent d’enregistrer les scènes qu’ils trouvent intéressantes : spectacle de rue, passant particulier, fait divers, scène quotidienne... pour sauvegarder cette scène et la partager. D’autres, généralement célibataires, vivent leurs vies en enregistrant continuellement. Rien ne leurs échappe, et leurs vies sont visionnables en Streaming sur la Matrice. La plupart ont certaines limites personnelles, où ils coupent les senseurs : travail, sexe, hygiène personnelle... Les enregistreurs les plus extrêmes, comme la femme que j’ai croisée, ne vivent qu’à travers leurs capteurs, ne voyant que par le Streaming qu’ils envoient eux-mêmes sur la Matrice. Mais ils arrivent à s’en nourrir, grâce aux abonnements payants des sites spécialisés pour lesquels ils "travaillent". La plupart se spécialisent, l’un dans les spectacles, l’autre dans les démonstrations technologiques, encore un autre dans les opérations de police... Leurs données n’en sont que plus prisées, et donc plus onéreuses. Evidemment, l’intérêt d’une scène dépend entièrement de celui de l’enregistreur, et la Matrice est submergée de scènes peu passionnantes. Les principaux adversaires de cette mouvance sont les organisme de protection de la vie privée, bien sûr, mais aussi, et surtout, les défenseurs du droit d’auteur. Ceux-ci s’épouvantent devant le nombre d’enregistrements pirates de spectacles, et devant les ventes qui diminuent (disent-ils). Sites importants : Zero Zero, Webcam Suprem, UrLife, Spotter, T3ch... New RustVoici sans doute la toute nouvelle tendance Hype du moment ! Pour l’instant, elle n’est présente que sur le metroplexe, mais je suis sûr qu’elle s’étendra bientôt au reste des Etats-Unis. New Rust est un retour aux sources. Une petite pointe de médiéval dans notre époque de Wireless. Imaginez un ensemble de pièces d’alliages légers, sur une combinaison en cuir pointé. Imaginez un pendentif merveilleusement vieillot, entrelacs de cuivre, de fer, et d’argent. Imaginez un corset d’acier rembourré des tissus les plus doux, et une jupe de cuir noir sous un rideau dense de chaînes. Tel est le New Rust. Une acceptation de notre époque, où l’esclavage est formalisé, où la loi médiévale n’est pas éteinte. La première soirée New Rust fut l’avant-première de Kingcrushers, le nouveau simsens de Megamedia. Il semble que les costumes d’époque aient été si appréciés qu’une petite partie des invités (une centaine, pas plus) aient décidé de les racheter et d’en faire leurs tenues de soirées. Depuis, de club privé en soirée mondaine, la tendance s’est répandue et diversifiée. Les Clubbers de moindres standings ont commencé à imiter leurs idoles, et un courant similaire a commencé à s’immiscer dans les soirées publiques. Plus Cheap, bien sûr, il est aussi plus inventif et récupérateur, n’hésitant pas à croiser différents styles ou à intégrer des éléments de simsens connus. Les bien-nés, en attendant, continuent à se payer des grands couturiers, ou des plasticiens célèbres pour briller en société. Quelques courants se sont différenciés, chacun s’inspirant d’une culture ou d’un simsens particulier. Le Rétro-Futur a adopté un style baroque plus futuriste, et inspirent les fans de films space-opéra médiévaux. Les fibres optiques aux couleurs changeantes par-dessus les armures design en sont l’apanage. Le style Barbarian, lui, se mesure aux cm² de peaux à nu. Il privilégie les vêtements en cuir ou en fourrure, avec des ornements runiques ou en os. Mais le plus répandu reste le TrueMedieval, avec ses simili-armures de plates, colossales pour les hommes, déshabillées pour les femmes. Bien entendu, les parures nobles de l’époques ont elles aussi leurs adeptes, sous le style Renaissance (prononcer à la française). Bien que tout cela puisse vous paraître extrêmement rustique, n’oubliez pas que nous sommes au XXIe siècle, et que tout est fait en alliage ultra-léger et en tissu pare-balle, grâce aux dernières innovations technologiques. De plus, il serait impossible de les confondre avec de vrais habits d’époque, tant les incohérences sont omniprésentes : projection holographique de fées autour du porteur, chaînes d’ornements surnuméraires, commlink intégré dans l’épaulette, Styles divergents : TrueMedieval, Renaissance, NewTek, Barbarian, NorseWarrior, MedievalOrient... Personnalités importantes : Wallace Burton, Jada Newton, The Widow... Le Genre IntégréLe confort ultime. Tout disponible, là, tout de suite. Ce penchant de la race humaine est sur le point d’arriver à son but. Maintenant que les implants et la technologie sont dans la vie de tout un chacun, de plus en plus de gens franchissent le dernier pas. N’avez-vous pas remarqué ce respectable homme d’affaires les yeux dans le vague, imprimant ses copies de contrats depuis son avant-bras ? Ou ce joggeur du dimanche, consultant son biomoniteur sur le dos de sa main ? Ou encore cette vieille dame dont la médication s’injecte automatiquement aux heures prévues depuis sa cuisse ? Pourquoi pas vous ? Un rangement pour les outils corporels, un lecteur de créditubes, un taser de défense,... tout est accessible pour le citoyen soucieux de rester au top de l’efficacité. « Pendant que vous vous reposez, les autres s’améliorent », une devise à ne pas oublier. Si vous vivez sous un climat désagréable, faites vous microadapter au froid ou au chaud. Vous habitez à Everett, le traitement anti-pollution vous est destiné. La tendance elle-même peut difficilement passer pour une mode, plutôt une évolution du mode de vie. Mais certaines personnes ont porté cette idée plus loin, et se passent de beaucoup des commodités externes nécessaires au quotidien. Elles se font intégrer tout ce dont elles ont besoin pour leurs vies professionnelles et quotidiennes, et, bien que cela nécessite une dépense conséquente, les économies réalisées se font vite sentir. Une main-outil ou un commlink interne pour être plus performant, un régulateur de sommeil et une expansion digestive et vous augmenterez votre compétitivité. Marre de racheter des vêtements ? Un nano-tatoo global, et vos couleurs du jour changeront à volonté (mais attention à la pudeur). Le Genre Intégré est sûrement le Way of Life de demain, ne soyez pas à la traîne... HRP : extrait tiré du très bon forum : http://www.shadowforums.com/ | |
| | | John'son Moderateur
Nombre de messages : 169 Date d'inscription : 26/04/2007
| Sujet: Re: [Emission Tridéo] Rien qu'une question de style Ven 15 Juin - 1:39 | |
| HRP : cette partie, tirée du même forum, sera sûrement remaniée afin d'être mieux adaptée à cette question. En attendant, amusez vous bien.
La Soie et le Chrome : Chapitre I : Les styles vestimentairesEt on inaugure La soie et le chrome avec ce premier chapitre décrivant diverses lignes de vêtements ... Tout ce qu’il faut pour que votre runner ne se contente pas d’un Manteau long 4/2. Principe de base : chaque article possède un prix standard qui doit être ajusté par le multiplicateur approprié selon le style de vêtement que vous désirez, le tout en restant cohérent (il n’y a pas de smokings de style TrueTribal par exemple). FashionArmor TM (Coût x 2)Sous ce brevet, des grands couturiers mais aussi des marques plus populaires réalisent la plupart des vêtements de protection en fibres de kevlar interlacées avec du tissu dont l’apparence est celle de vêtements ordinaires. D’autres matériaux sont également utilisés, y compris certaines fibres organiques issues de la recherche génétique et paragénétique. De nombreux styles vestimentaires sont concevables, du streetwear classique au kimono d’intérieur japonais, en passant par les capes elfiques, les pantalons à franges indiens et les costumes trois pièces. Les multiplicateurs des styles et de Fashionarmor sont cumulatifs. Ainsi, un pantalon coûtant 100¥ en vaudra 600 s’il est FashionArmor et CorpoStyle. Dans les pages suivantes, nous allons aborder dix styles vestimentaires distincts. De manière brève, on peut les décrire comme suit : UrbanWear : le style "homme de la rue" par excellence, celui que l’on rencontrera le plus souvent à Seattle ou dans bien des villes. Street Samurai : la dégaine du prédateur urbain, qu’il s’agisse d’un vrai samouraï des rues, d’un mercenaire, d’un vulgaire loubard plus soucieux de son look que de sa sécurité, ... NeoTribal : la renaissance de la culture amérindienne s’est accompagnée de quelques effets de look à base d’ersatz, de matériaux modernes et d’imitations pseudo-traditionelles, comme de juste. TrueTribal : comme le nom l’indique, un style destiné aux puristes de la culture indienne ancestrale. Le créneau est limité mais il existe bel et bien. FluoChrome : le look branché, flashy, fluo, éblouissant pour en jeter un max sans trop de frais... à éviter en dehors des boites, des grands concerts et des love-parade TechnoShaman : les tenues utilitaires et fonctionnelles des adeptes de la haute technologie, des experts, des pilotes orbitaux ou des techies corporatistes CorpoStyle : les trucs respectables que l’on met pour aller au boulot ou dans les soirées habillées strict, histoire de ne pas avoir d’ennuis avec la hiérarchie en faisant l’employé modèle. Executive Class : la même chose en plus cher et plus classe, pour ceux qui veulent montrer qu’ils sont aux commandes et qu’on ne doit pas l’oublier. Faerie : un fatras pseudo-elfique importé de Tir Nan nOg et destiné à une clientèle aux oreilles pointues qui aime se donner un genre "exotique" High Fashion : le genre "grands créateurs" que l’on ne voit que dans les grands défilés ou porté par des gens qui gagnent plus en une journée que tout le reste de la ville. UrbanWearMultiplicateur de Coût : x1 Principales griffes : G.O.D (Good Old Days), UCAStyle, Occident, Nostalgia, voire des marques plus célèbres pour ceux de la haute qui veulent avoir l’air prolos (mais le prix n’est pas le même). Véritable amalgame de vieilleries et de nouveautés, le style UrbanWear fait feu de tout bois. Le style UrbanWear est ce que l’on voit tous les jours et ce qui attire encore le moins l’attention. Si vous voulez avoir l’air un peu moins quelconque, mélangez des articles qui jurent vraiment (genre un blouson de motard avec une cravate corpostyle). Accessoires : suivez la mode du moment et si vous en avez les moyens et un bon feeling, celle de demain. N’oubliez pas que dans quelques mois, voire quelques semaines, certains trucs feront vraiment vieux jeu. De temps en temps, des accessoires d’autres styles (NéoTribal, TechnoShaman ou FluoChrome le plus souvent) font une brève apparition. Implants : la plupart du temps, portez ce que vous voulez mais de temps en temps, faites dans le courant du moment : si Zeiss Optical est à la hausse en bourse, changez vos vieux cyberoptiques pour des nouveaux avec le logo approprié et ce genre de trucs ... Ils en portent : les gens du commun dans les pays dits "civilisés" qui tentent d’avoir l’air branché ou au moins normal dans la rue. Selon votre job, on vous permettra ou pas d’aller au bureau dans ce genre de tenue (pensez aux blousons réversibles avec un coté classique et l’autre complètement déjanté). Pour un prix nettement plus important (de 5 à 10 fois le prix de base), les grandes marques vendent également l’équivalent du style UrbanWear pour les fils à papa richissimes qui veulent s’encanailler dans les bas quartiers. Street SamuraiMultiplicateur de Coût : x1 Principales griffes : Street Warrior, Strike, Vector mais aussi et surtout le bon vieux surplus militaire en bas de la rue et le tatoueur de votre gang ... Le genre de trucs que portent les loubards, les bikers, les mercenaires et les samouraï des rues : treillis issus des surplus militaires et corporatistes, blousons de synthécuir blindé, rangers, bottes de combat, long impers ou manteaux de style "duster" et ainsi de suite ... le genre mec à la redresse quoi. Accessoires : rien de spécial mais les chapitres des règles traitant de l’armement et de l’équipement peuvent vous donner des idées ... Par contre, si vous avez des tatouages du gang de vos débuts ou de l’unité dans laquelle vous étiez pendant votre tumultueuse jeunesse, c’est le moment de les montrer... Implants : il faut que ça se voie si vous voulez avoir l’Attitude mais sachez doser le chrome et la discrétion selon l’impression que vous voulez donner et le type de job que vous envisagez de faire. Ils en portent : tous les prédateurs urbains. Les couleurs de votre gang si vous êtes un loubard sont obligatoires. Mercenaires et samouraï préfèrent leurs décorations et badges chargés de souvenirs mais le but est toujours le même : faut montrer que vous êtes un chasseur, pas une proie. Attention, certains autres prédateurs urbains n’aiment pas la provocation... NéoTribalMultiplicateur de Coût : x2 Principales griffes : Native, Indian Rise, Redskin En résumant : on prend toute la vieille panoplie des indiens d’origine et on la remet au goût du jour. Pantalons à frange en skaï, mocassins à semelle plastique .... Encore pratiquée dans l’ouest américain mais tombe de plus en plus en désuétude en dehors des principales villes des NAO. Eventuellement, quelques accessoires de cow-boy (Stetson, jeans, chemises à carreaux) peuvent se marier avec le NeoTribal. Accessoires divers : plumes artificielles, colliers de verroterie, tatouages bon marché imitant des originaux célèbres ... Implants : moins ils se voient, mieux ça vaut, sauf si vous voulez jouer au "guerrier rouge". Ils en portent : pratiquement tous les amérindiens qui vivent en ville dans les NAO ou au sein des tribus mais qui n’ont pas les moyens de s’offrir mieux. TrueTribalMultiplicateur de Coût : x4 Principales griffes : impossible d’en trouver ailleurs que dans les tribus où l’on en porte .... D’excellentes reconstitutions des vêtements traditionnels, en matériaux naturels ou quasi-naturels (peaux et fourrures d’élevage ou sauvages) et probablement fabriquées selon des techniques assez proches de la technique originale. Accessoires : vous portez ce qui a un sens pour vous dans votre recherche des racines ancestrales Implants : seulement si vous ne pouvez pas faire autrement Faites soit dans le fonctionnel pur et dur, soit dans le pratiquement invisible ... Ils en portent : les peaux-roses (anglos vivant dans les NAO et adeptes du retour à la terre), les amérindiens les plus traditionalistes. FluoChromeMultiplicateur de Coût : x3 Principales griffes : Galaxy, IconWear, Prism Même au milieu de la foule, on doit pouvoir vous reconnaître. Pratiquement n’importe quel vêtement fait l’affaire du moment que c’est métallisé, fluorescent, transparent, phosphorescent, animé ou tout ça à la fois. Au total, vous devez parvenir à dégager autant de lumière que tout un appartement éclairé sans pour autant aveugler les autres (le but est qu’ils vous regardent, pas qu’ils soient obligés de mettre des lunettes noires ou de vous tourner le dos). Evitez les tons fades, préférez les couleurs vives, les pastels changeants aux transformations aléatoires ou le lustre du chrome et des autres teintes métallisées. Accessoires : tatouages lumineux, boucles d’oreilles stroboscopiques, teintures de cheveux et de peau, bracelets flashant selon vos pulsations cardiaques, etc. Un truc très réputé : le micro-récepteur intégré aux fringues qui capte une chaîne tridéo quelconque et projette en direct sur le tissu (seulement 50¥ de plus sur un article vestimentaire de votre choix du moment qu’il entre dans la gamme FluoChrome) Implants : plus c’est flashy, mieux c’est : membres chromés, optiques clignotantes, datajack transparent, modifications de l’épiderme, du système pileux, de la couleur des yeux ou des dents. Reportez vous au chapitre traitant du Fashionware pour avoir quelques idées. Ils en portent : tous les gens qui veulent flasher en boite sans avoir les moyens de se payer du High Fashion ou du Faerie. Les starlettes, les présentateurs télé, les mannequins et tous ceux qui ne vivent que quand on les regarde ... TechnoShamanMultiplicateur de Coût : x2 Principales griffes : Circuit, Tech 21, VeryTech, Future/Venture Incarnez l’avenir dans toute son efficacité et sa pureté esthétique : combinaisons moulantes, bleus de travail, treillis et autres fringues utilitaires portées par les corpotechs et les spationautes ou même dans certains cas les gardes corporatistes Accessoires : pensez aux gilets et ceintures multipoches, aux attaches en velcro, aux calculettes extra-plates et aux bracelets-téléphones. Si vous voulez faire un peu moins "hard science" et un peu plus excentrique, ayez toujours un gadget sur vous, genre briquet-téléphone qui donne l’heure en swahili, nécessaire de maquillage déguisé en trousse à outils avec distributeur de cigarettes incorporé ou pourquoi pas pour une petite touche un peu rétro une vieille montre à gousset qui marche et est parfaitement à l’heure puisque son cœur est désormais une pile au radium... Implants : un peu comme pour le CorpoStyle mais avec un peu plus de motifs en circuits fluorescents ou d’indicateurs LED et le logo de la compagnie, surtout le logo de la compagnie ! Pensez efficacité, sobriété mais aussi technologie. Si vous êtes un authentique croisé de l’avenir, pas seulement un type qui touche son virement mensuel en se salissant les mains, vos implants doivent donner ce feeling de machine que les autres cherchent souvent à éviter. Mais avant tout, ils doivent être de belles machines, combinant harmonieusement la pureté esthétique et l’efficacité fonctionnelle. Ils en portent : pratiquement tous les techies, les spationautes et autres exécutants aux connaissances techniques reconnues qui les distinguent de la masse salariale des pupitreurs, des secrétaires, des vigiles au front bas, des petits comptables, des simples ouvriers spécialisés et des techniciens de surface. CorpoStyleMultiplicateur de Coût : x3 Principales griffes : Mortimer, Akima, Busineeds, Nagisa-Kyoto, Hashimoto for Men, Lancet La gamme professionnelle destinée à tous les échelons corporatistes ou gouvernementaux intermédiaires et inférieurs. Les matériaux sont toujours synthétiques mais la coupe et le mariage des couleurs distinguent dans la plupart des corporations le pupitreur n° 7146 du chef de service ... Un moyen de montrer qu’on évolue dans le sillage des grands sans outrepasser les limites de la bienséance. De nombreuses corporations laissent une certaine latitude à leurs dirigeants et cadres supérieurs mais ne sont pas forcément aussi ouvertes en ce qui concerne le reste de leurs employés. Certaines vous donneront ce genre de fringues, d’autres vous obligeront à les acheter. Si vous avez de la chance, la seule chose qu’ils vous demanderont sera d’en porter. Par contre, si vous bossez dans une zaibatsu nippone, il est plus que probable qu’ils vous imposeront la marque, la couleur, la coupe et peut-être même le style des sous-vêtements et la taille du col de votre pyjama. Accessoires : il est toujours utile de porter les montres, pin’s et autres bidules arborant le logo de votre compagnie, surtout s’il s’agit du dernier truc lâché sur le marché. Implants : ce qu’il faut pour bosser et rien de plus. Sachez vous faire remarquer par votre sobriété et votre travail, pas à cause de vos cyberoptiques incandescents ou de votre peau cyber-tatouée. Si votre compagnie fabrique des implants qui ont en plus de jolis logos, demandez les avant qu’on vous les demande, ça fait toujours bien dans le dossier ... Ils en portent : tous les employés corporatistes qui n’ont pas à se trimballer en uniforme ou en bleu de travail et qui ne sont pas assez importants pour que leur standing impose de l’Executive Class. Executive ClassMultiplicateur de Coût : x 10 Principales griffes : Armanté, Zoé from Paris, Mortimer of London, Beijing et également Vashon Island ou Hashimoto - Tokyo Plus classiques dans leur conception et destinés aux décideurs ou à ceux qui aiment passer pour des gens vraiment importants. Robes de soirées, tailleurs profilés, chaussures italiennes, smokings et trois-pièces de luxe avec chemises en soie naturelle et cravates de marque sont des éléments standard de cet arsenal. Accessoires : bijoux précieux, montres Cartier et autres marques célèbres, tout dans la sobriété et l’élégance en même temps. Les années passent mais le pouvoir demeure et ses symboles avec lui. Implants : efficacité, sobriété et en même temps élégance. Datajacks pratiquement invisibles, cybermembres en alliages orbitaux ultra-légers. Les couleurs sont le plus souvent métalliques et d’une brillance discrète. Jamais de chrome ou de bidules lumineux, sauf pour l’affichage de données et autres trucs qui donnent l’air important Les cyberoptiques doivent avoir l’air d’yeux normaux ou dans le pire des cas avoir des pupilles de couleur exotique qui pourraient passer pour des lentilles de contact. Ils en portent : pratiquement tous les dirigeants corporatistes importants, les chefs de gouvernements, les gros actionnaires qui brassent les milliards, les invités aux soirées de Mr l’Ambassadeur du Japon Impérial. | |
| | | John'son Moderateur
Nombre de messages : 169 Date d'inscription : 26/04/2007
| Sujet: Re: [Emission Tridéo] Rien qu'une question de style Ven 15 Juin - 1:40 | |
| FaerieMultiplicateur de Coût : x8 et + Principales griffes : Avalon, Glossamer, Viviane le Fay, Quintessential Lancé depuis Tir Na Nog, le style Faerie essentiellement porté par les elfes de la haute est tout en robes à voiles complexes, chemises brodées, capes volantes, bottes mi-longues et ce genre de truc très heroic-fantasy. Accessoires : bijoux discrets évocateurs d’animaux ou des forces de la Nature, éventuellement avec des signes cabalistiques, des runes, etc. (attention à ne pas porter n’importe quoi devant n’importe qui dans ce domaine...). Implants : dans le mesure du possible aucun. S’ils sont inévitable, il est souhaitable qu’ils soient pratiquement invisibles à l’œil nu. Ils en portent : On peut considérer qu’il s’agit d’un style presque exclusif aux élites elfes de Tir Na Nog, Tir Tairngire et d’autres endroits ou l’on voit d’un assez bon œil les membres de l’espèce Homo Sapiens Nobilis. Inutile de dire que si vous êtes d’un autre métatype et débarquez habillé comme cela dans une soirée d’elfes également Faerie, on vous prendra pour le comique engagé pour l’occasion ... dans le meilleur des cas. Certains mages d’autres métatypes aiment à porter des trucs de style Faerie mais le prix passe souvent à x9 ou x10 si l’on veut du sur mesure qui valorise le porteur au lieu de le rendre ridicule. Enfin, les elfes les plus importants qui aiment à porter du Faerie achètent souvent des articles dont le prix possède un multiplicateur rivalisant avec celui du style High Fashion décrit juste après (x50 ou +). High FashionMultiplicateur de Coût : x 50 et + Principales griffes : Armanté, Zoé from Paris, Mortimer of London, Beijing. Il s’agit de ces vêtements le plus souvent réalisés en série très limitée pour des gens richissimes. A peu près tous les styles et tous les habits sont concevables en High Fashion et un certain nombre de ces tenues sont des exemplaires uniques (qui coûtent encore plus cher). Généralement, il faut compter au nombre des "amis personnels" du couturier pour qu’il crée une tenue qui portera votre nom, mais quelques imitations très reconnaissables par les gens qui portent les originaux existent pour "seulement" le prix indiqué. A titre d’exemple, le High Fashion automne-hiver 2057 faisait dans le style pseudo-écolo (vêtements en fourrure authentique de phoque, robes semblant faites de feuilles d’arbres tressées, vestons de cuir de baleine). Début printemps 58 par contre (illustration ci-contre), c’était le trip fluorescent et translucide avec du diamant et d’autres trucs précieux pour "donner un peu de brillant", de la vraie soie naturelle et des tatouages authentiques (mais pratiqués sous anesthésie...)... Accessoires : montres et bijoux personnels de prix, pièces uniques et réalisées par des maîtres artisans (compter entre 50.000 et 200.000¥, voire beaucoup plus ...). Implants : inutiles puisque les organes clonés sont plus avantageux et que d’autres personnes travaillent à votre place. Si vous devez malgré tout en avoir, faites dans la surenchère permanente : datajacks en platine, cybermembres dédicacés par les grands maîtres, cyberoptiques aux pupilles de diamant authentique, épiderme fluorescent, chromé, transparent, en fourrure synthétique ou naturelle ... mais pensez à vous en débarrasser au plus vite dés que cela ne sera plus "in". Ils en portent : les tops d’Hollywood, les rockers novastars, les milliardaires excentriques et tous ces gens riches à n’en plus finir qui viennent assister à l’avant-première du dernier simsens d’Honey Brighton en présence de la star elle-même et sous les yeux de plus d’un demi-milliard de tridéospectateurs. Voir http://www.shadowforums.com/cyber-espace/spip.php?article49 pour plus d'informations. | |
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| Sujet: Re: [Emission Tridéo] Rien qu'une question de style | |
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| | | | [Emission Tridéo] Rien qu'une question de style | |
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